Acier soudé et peinture Epoxy
Edité par J.M. Decrop & J.F. Roudillon
Signé PH et numéroté 5/8
DIMENSIONS :
– 168 x 114 x 70 cm
– 66 1/8 x 44 7/8 x 27 1/2 in.
Cette œuvre est incluse dans le catalogue raisonné de l’artiste Volume 1 p.269
Réalisée en 1981, la Marathonienne fait directement référence à la Grèce Antique, dont Hiquily aime s’inspirer. Majestueuse et hiératique, cette figure féminine symbolise à merveille le renouvellement des formes initié par l’artiste à la fin des années 70.
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BIBLIOGRAPHIE :
– J-L. Epivent, Profil Architecture Evolutive n°54, « Philippe Hiquily, les chiquenaudes du destin », janvier-février 1983, reproduit en couleur p. 39 (un exemplaire similaire)
– Chen Y-F, Artist n°112, « Hiquily, érotisme, mouvement et humour en sculptures », septembre 1984, reproduit en noir et blanc p. 170, (un exemplaire similaire)
– F. Jonquet, « Hiquily », Édition du Cercle d’Art, Paris, 1992, reproduit en couleur p. 126 (un exemplaire similaire)
– M. Vinot, « Philippe Hiquily – Catalogue Raisonné 1948-2011, Volume 1 », Editions Loft, Paris, 2012, reproduit en couleur p. 269 (un exemplaire similaire)